lundi 2 juin 2008

Prose

Légèreté qui s'incruste tendrement autour... tel une dent-de-lion en pleine saison d'allergie, épanouie...

Une petite brise suffit a éclore les bon moments... une parole, un son, un simple sourire...

un contact, une caresse, un frolement... de la plus douce des manières....

je frissonne tu m'enivres, je m'abandonne et puis tu me cueilles du bout des lèvres...

ces meme lèvres qui me font fantasmer, me font perdre la tete, juste pour que je puisse y rester agripper, une éternité, une seconde de plus... que le temps s'arrete, que nos rires s'emmêle, qu'on se mêle, mes cheveux dans les tiens, mes doigts caressant les épines de ton visage caressant mon âme enjôlé de tes yeux fulgurants, ces yeux qui me promettent tout et puis rien, me promettent foudre et tonnerre, mais où il n'y a aucun signe de pluie, ni même d'un nuage...



t'ai-je déjà dit que j'avais peur des orages?



(j'irais bien me réfugier ce soir, dans des bras chauds, loin du temps maussade, autant celui de la météo que de mon être ravagé...)

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Joli texte, à bientôt! Chris