jeudi 29 janvier 2009
sans titre quelconque (prose)
ya tellement plein de chose plus interessante que dormir...
surtout celle qui se ralli a toi, a tes bras, a tes draps, a ton sourire, ta simplicité, tes levres...
mes nuits semble si sombre loin de ta perfection, mes sens détachées, mes bras embrasse le vide de mes oreilles, mes cheveux reste alligné et mes pensées éparpiés
au moins, durant ce temps, l'hiver me réchauffe, tinquiete!
mes sens s'éveille a ton contact, symbiose ephemere, reve utopique de bonheur continu..
mes espoirs s'évanouissent comme ton parfum s'évaporant de mes pores
ils s'érodent avec le temps, meme si jaimerais les conserver ancrer a ma peau
jeudi 22 janvier 2009
rock me...
une complicité parfaite, une compréhension quasi totale, une amitié solide, un attirance mutuel, de la séduction a revende, de l'honneteté et et et... yen a tellement que je sais meme plus quoi énumérer...
ya des fois que je comprends pas les homems, d'autre fosi je comprend pas trop la vie...
en ce moment, stun mélange de tout ca...
me faut trop une chaise bercante, histoire de m'endormir bercer au son d'une ballade tendre qui me ferrais verser une couple de larme, décharger mon flot d'armes qui menace de sauter a tout moment...
berce moi sous les étoilés dorées....
souffle moi une raison d'aimer,
donner moi espoir,
scintille d'une ombre feutré,
sort moi de ce gouffre noir,
tend la main, et redonner moi raison
tendresse amitié et passion
samedi 27 décembre 2008
instantanée du 27 déc 08
ou je mets les pieds
d'un pas incertain
peur de me planter
une ondée ennuagé
tombe tombe de la ouate en morceau
flocon plein le dos
rire enfantin
sourire complice
douces mains lisse
visage épineux
passion éphèmère
tendresse, pure chimère
bonheur utopique
fait avec/et/ou/peut contenir
attirance physique
avec un soupson de plaisir
et un moton de souci
oublie! on cajole la vie
nos émotions creuses des vides immenses
ou l'on fait renaitre les étoiles filantes
vendredi 5 décembre 2008
solitude
J,ai revé de tes lèvres... Paroles, baisers, souplesse, adress, douceur, compréhension, passion.
D'une douceur fièvreuse, au bord de l'aurore, lover dans tes bras, immobile, piègée, stunnée, j'ai succombée.
Et comme un cri de réveil, tu es disparu, le temps de cligner des yeux, tu n'y était plus...
Il fait froid, il fait vide ce matin.
mercredi 26 novembre 2008
Dernier post de la nuit
j'ai décider de linker mes anciens poème ici.. yen a qui sont vriament pas travailelr,m asi certain mérite detre lu je coris.. so voila :
lien vers mon libelé "poème" de mon ancien blog
a l'envers
faut j'aille a mes cours : je m'endors
faut j'étudie : je n'arrive pas a me concentrer
faut que je dorme : je continue de penser
faut que je me branche : je continue a penser
faut que je pense a une soluce : jarrive plus a penser adroitement
faut jarreter de penser, j'vire en insomnie
faut que j'arrete de m'en faire, jcontinue de me soucier
et avec les soucis, vienne les tracas, et les menu tracas
les rien me semble insurmontable tellement yen a...
je continue de penser, et j'insomnie
j'arrete de penser, je m'abruti
et ainsi, je me lance tete premiere dans mes idées
mes idées irréfléchie, donc, insenser,
ou dans celle trop réfléchi, donc, a penser courbé, désaligné, avec faille
et je pense, et je pense, et j'insomnie
et quand la soluce pop, que je comemnce a voir clair, quil ne reste plus qua agir
... je tombe dans un sommeil qui brise mon entrain, me réveille,e t réfléchi....
j'insomnie a nouveau, déstabiliser, en penser, courbe l'échine, cherche a réfléchir adroitement...
je me souci, je m'enfarge, je tribuche, mais du moins, je me releve...
je me leve de mon sommeil senser réparateur, je sors d'une torpeur qui me fait peur, souhaite dormir, oublier les ennuis, oublier les insomnies, séparateur, les draps tente de me garder au lit, mais je réfléchit, me leve et poursuit cette folie, cette chaine infini
fucking insomnie!
lundi 17 novembre 2008
poésie
Mes cheveux à mon cou glacé
Le mascara s'écoule
Est-ce les pleurs, est-ce la pluie?
Je tache de noir les volets
Me défait de lumièere
Sombre en pénombre
Fuit les regrets
Enchaine les méfaits
Succombe à la folie
De courir sous cette averse
Fuit, de peur que ca me transperce
L'eau parcours mon corps
Mais le froid me dévore
Puisse-t-il se rendre jusqu'au coeur?
Centre d'émotions
Ronger ma rancoeur et mes dévotions
Puis-je appuyer mon front
Contre un obstacle sans nom
Stopper cette frénésie
Qui m'habite, qui m'engourdi?
Le mascara s'écoule
Jusqu'au cheveux placardés
Glacée
lundi 3 novembre 2008
Tomber
De haut, de loin
Sournoisement
En symphonie
Chuter
D'un pas assuré:
Un de plus à chaque instant
Ta voix m'enivre...
Tomber
De haut, de loin
Sournoisement
En euphorie
Chuter
Etre libre, perdue
Aux creux de tes yeux
Ta chaleur est mon seul réconfort...
Tomber
De haut, de loin
Sournoisement
En utopie
Chuter
Pour une caresse
Une parcelle d'exquisité
Ton odeur me rend folle...
Tomber
De haut, de loin
Sournoisement
En cacophonie
Chuter
De haut, de loin
Tomber d'amour
Dans la peur et l'espérence...
jeudi 28 août 2008
PoK sky....
L'âme démoli
Sur cette courte-pointe marine
Où je ne trouve aucune chaleur...
Approche, soleil, approche
Cache les taches brillantes,
Viens faire sècher mes larmes
Du revers de tes mains brulantes
J'ai froid au coeur,
Je me sens comme cette étoile, là
Seule, qui tente de résister,
Je m'agrippe,
Mais sais que je vais m'éteindre...
Pourtant, je rêve que de revenir
Allonger, la tête perdu dasn un ciel étoilé
Souhaitant ne jamais te perdre de vu,
Fraction de coonstellation
Sans toi
Je suis désolation
Sans toi
Le ciel ne m'éclaire plus,
Il me tue...
lundi 18 août 2008
Hors de moi
puisse s'évaporer le soleil de mes pores, que je puisse absorber les douleurs et les torts
puisse mourrir sur ton corps, parsemer mes cheveux d'or et partager nos remords
( j'était parti en "or"....mais la. l'inspiration dérive de ce que jevoualis vraiment écrire, je préfere m,arreter ici)
dimanche 13 juillet 2008
j'ai besoin
besoin de passion,
me sentir en état d'ébriété
vivre d'émotion
J'ai besoin de tes contrastes
pour ressortir mes incompréhensions,
besoin d'affection
pour compenser mes souffrances
J'ai besoin de la douceur de tes mains
de la froideur de ton coeur,
besoin de la tendresse de tes caresses
de la dureté de tes baisers
J'ai besoin de la grandeur de tes draps
d'étouffer de sommeil,
J'ai besoin de me laisser désirer
de perdre la tête de volupté
[reste inachevé...]
dimanche 22 juin 2008
daydreaming
un brin de fraîcheur sur les douleurs injustifiées...
Danser comme le vent dans mes cheveux... doucement, vaguant dans l'inconscient, une pure délivrance
Valser dans l'herbe mouillé, embrasser un moment de liberté, s'étendre sur ton corps pour éteindre tous soucis...
chuchoter aux étoiles la splendeur du moment présent, faire briller d'envie tes yeux enjôleurs, supplier au temps de prendre une pause, simplement pour ne jamais m'éveiller de ce charme....
Je faufilerais mes lèvres sur ta nuque, t'enlasserais subtilement, et gouterais à toute la tendresse que je pourrais cueillir aux creux de tes bras
je rechercherais tes baisers, je m'y noierais, succomberais à toi, à tous tes caprices... Je résisterais que pour t'obliger à graver ce moment dans un coin de ma mémoire...
...
ca serait bien de danser sous la pluie de minuit, sous un regard idyllique, où je m'endormirais, passionnée et conquise
lundi 2 juin 2008
Prose
Une petite brise suffit a éclore les bon moments... une parole, un son, un simple sourire...
un contact, une caresse, un frolement... de la plus douce des manières....
je frissonne tu m'enivres, je m'abandonne et puis tu me cueilles du bout des lèvres...
ces meme lèvres qui me font fantasmer, me font perdre la tete, juste pour que je puisse y rester agripper, une éternité, une seconde de plus... que le temps s'arrete, que nos rires s'emmêle, qu'on se mêle, mes cheveux dans les tiens, mes doigts caressant les épines de ton visage caressant mon âme enjôlé de tes yeux fulgurants, ces yeux qui me promettent tout et puis rien, me promettent foudre et tonnerre, mais où il n'y a aucun signe de pluie, ni même d'un nuage...
t'ai-je déjà dit que j'avais peur des orages?
(j'irais bien me réfugier ce soir, dans des bras chauds, loin du temps maussade, autant celui de la météo que de mon être ravagé...)
dimanche 11 mai 2008
Soirée poétique
la soirée commence comme celle d'il y a 4 ans... un discours, avec un animateur et les inviter qui sont pas foutu de parler devant le micro (est-ce si dure siboire!)
en plus, ya du feedback dans le micro,, yeah! la joie...
un des deux poèmes des fille de Belgique (qui cette fois sont bien jolie :P) était débile.. l'autre, j'ai pas trop compris, mais bon, c'est ca la poésie, on comprend pas toujorus l,auteur... je vais devoir le relire pour essayer de comprendre...
ensuite, viens les personne nowhere, qu'on sais pas ce qu'il font la qui font des remerciement.. C'était oh so long! J'ai bien apprécier que cette fois, il ont fait lire les poèmes gagnant du concours intercollégial
et la.. voila le clou du spectacle... jme demande si ca va etre aussi pire que le conteur a la guitare seche qui récite nos poèmes, comme ya 4 ans...
et non! on a Hugo Lapointe qui vient nous chante 3 toune pour 15 minutes....
3??!! mouhahaha! :P trop dedans le monsieur :P il nous en a fait une dizaine, ca la prit une bonne heure et 15 minimum :P :D
vraiment, je suis vendu.. je connaissait que ca toune Célibataire... mais la, je suis vendu, jva alelr chercher les deux albums :P
et oui, jva encourager les deux freres :P (puisque j,ai déja tout les album d'Éric :P)
bref, j'ai ADORER ma soirée :) je suis bien contente d'y avoir été :P
de plus, j'ai mon recueil, et u T-shirt, écrit "pris en flagrant Délire" :D:P (bah, en plus de l'édition du recueil dessus :P)
Pour l'instant, page 1:30
(je vous raconterai la soirée au courant des 2 prochaines journées, j'ai un déjeuné demain hyper tot (genre 6:45) alors je vais au sommeil)
Motionless
Douce chaleur ambrée
La nuit fut courte
Et la journée éreintante
Ton être suffoque d’être ainsi enfermé
Au creux des yeux douloureux
Noyer d’indulgence
Envers les étoiles éteintes…
Vibrante,
Ton onde inonde,
Ondée immonde,
Tu succombes,
Cinglante
Féline
Tu t’inclines
Devant la légèreté
D’une berceuse soufflée
Tendrement
Câlinement,
Tu t’enivres
De ce corps brûlant
Que tu possèdes
Et t’endors
Sanglotant silencieusement…
jeudi 8 mai 2008
Désespérer...
J'ai deux entrées pour la sortie du recueil de poésie Pour L'instant (c'est un recueil intercollégial)
Je n'ai personne dans mon entourage que ca interesse et/ou qui peut venir (sauf un que j'attends la confirmation, mais ca avait pas d'l'air partant pour un oui..)... alors, tant qu'a gaspiller une entrée, j'offre a un lecteur/lectrice de m'accompagner... lacher un wack dans les commentaires si intéresser.. je suis en transition de job, alors je passe presque mes journées entières sur le net, j'devrais le voir
donc :
le 10 mai, à 19h, À la cafétéria du Collège Ahuntsic
si je me fis a ya 4 ans, ya de la lecture de poésie, ya un artiste plus ou moins connu qui viens discuter poésie avec les jeunes etc etc etc... moi, j,adore la poésie, alors j'apprécie...
alors, si vous voulez prendre ca relaxe samedi soir (c'est quand meme juste DAL vs DET), laisser moi un commentaire ;)
vendredi 25 avril 2008
et de 4! :D
WOAH!!! :D :D j’ai reçu, aujourd’hui, pas la poste, une invitation pour aller chercher le recueil de poésie pour l’instant 16e édition….. qui a écrit dedans?! Hu hu hu?? :P et oui, c’est bibi :)
J’ai juste trop hâte d’aller le chercher! :P mais je sais juste pas avec qui je vais yaller…. Ya 4 ans, j’y étais aller avec Eric, avec qui j’étais en couple… Mais la… un samedi soir, 19h, avec risque de match de hockey, qui va bien vouloir m’accompagner :P J’ai un nom en tête, un de mes ami qui aime la poésie… mais qui trippe hockey… pas sur qu’il va vraiment m,accompagner…. Et me pointer la seule… je sais pas… au pire des cas, ça va être ça…
Woah :) enfin!! :D Un autre poème :)
Des que sa sort, je vous ressort le poème qui a été publier…. Il vous reste 15 jours d’attente! :P
samedi 29 mars 2008
D'une simple douceur...
J'irai caresser l'idéal
De tes songes désillusionnés,
Parsemer tes rêves
De mes caprices exquis,
Changeant l'essence
Pour effleurer chimère,
Semant passion et séduction,
Sommant tendresse et finesse,
Calculer chaque moments
Pour retirer perfection
D'une douceur satinée
J'envelopperai tes sens,
Timbrerai mes paroles
Au rythme de ton souffle...
J'affinerai mon sourire
Sous l'emprise de ton regard,
Puiserai la beauté de l'instant
Au creux de ta sincérité,
Vibrante et amante,
Câline et féline,
Déboussolée, attentionnée
Attachée, intimidée...
D'une douceur fusionnée
J'humerai ton parfum
Placarder à mes pores,
Balayerai mes cheveux
De l'inconnu de tes yeux,
Chuchoterai une syllabe
(Ou peut-être deux)
Afin de conserver à ma mémoire
La pureté du bruit,
L'infini de ma douleur
Pour une parcelle de bonheur,
D'une simple douceur...
jeudi 20 mars 2008
J'aimerais...
... Que la douceur de mes doigts
Caresse les épines de ton sourire,
... Pouvoir puiser l'énergie
Sur le bout de tes lèvres
Et d'y mordre à pleine dents
Pour me nourrir de ton extase
... Que la chaleur de tes bras
Se referme sur la froideur de mon hiver,
... Trembler de désir,
Soupirer de plaisir
Saisir par la main le bonheur
Et combattre la noirceur
... Que tes tendres baisers
Viennent innonder mon visage assoiffé
... Tirer les dernières parcelles d'exquisité
De tes gestes endormis
À l'orée des rêves infinis
Qui bercent l'âme endolori
... Que l'éphémère s'étire
Afin de te posséder
Quelques instants, quelques nuits,
Jusqu'à l'oubli de promesses
Simplement tendresse
Et brève utopie...
Moment d'euphorie,
Sans lendemain...
Je n'attend plus que ta main
Petit être de bonheur...
jeudi 14 février 2008
Saphir
Saphir,
Le posséder me semble impossible,
Le cueillir, un crime
Pourtant, sa brillance émane
Une chaleur enveloppante
Mais je carbonise
À la simple pensée d’y toucher…
Saphir,
La perfection opaque
Où je m’abreuve
La radiance étouffe
Mais je ne puis me déprendre
Plus j’approche, je m’étrangle
Mais reculer m’est insensé
Saphir,
Être inaccessible
Ayant tout bousillé…
Il m’a frappé de plein fouet
Vulgaire caillou
Il m’a fait fondre de son regard
Satané voyou
Saphir…
Le fruit de ma passion
Où je meurs de mes lésions